L’Orchestre symphonique de Québec et Jeunes musiciens du monde ont uni leurs univers dans un projet stimulant qui a permis aux jeunes de rencontrer trois musiciens de l’Orchestre à travers divers ateliers. Offert pour la première fois dans une formule intensive, soit du 28 mai au 4 juin, une douzaine de jeunes de l’école de Jeunes musiciens du monde – Québec ont partagé cinq séances de travail avec les musiciens placées sous le thème La musique française. Parents et amis, ainsi que le grand public ont d’ailleurs été invités à découvrir le fruit de ces échanges musicaux lors d’un concert qui s’est tenu le lundi 4 juin au Studio 29 du Conservatoire de musique de Québec.
« Pour cette quatrième édition, nous souhaitions offrir une expérience légèrement différente aux jeunes en créant une formule intensive. Celle-ci a permis une plus grande cohésion entre les participants tout en favorisant la création de liens solides qui ont enrichi autant les jeunes que nos musiciens! » affirme Emmanuelle Pequin, directrice de la médiation culturelle et des projets spéciaux de l’Orchestre symphonique de Québec.
De plus, le 30 mai dernier, lors du concert Ravel par Marc-André Hamelin présenté par l’Orchestre symphonique de Québec avec son directeur musical Fabien Gabel, les élèves de Jeunes musiciens du monde ont eu la chance d’assister au concert en compagnie de leurs parents.
Ce projet répond à la mission éducative de l’Orchestre symphonique de Québec et consolide son implication dans la communauté. Les musiciens de l’orchestre ont pu échanger avec les jeunes élèves à propos de leurs carrières d’interprète et ce que représente la persévérance dans la vie d’un musicien professionnel.
Pour les jeunes élèves de Jeunes musiciens du monde, ce fut une rencontre significative empreinte d’un caractère formateur tangible. Le thème de la persévérance était au coeur de cette initiative et l’expérience symphonique offerte aux élèves leur a permis de se familiariser avec la musique classique.
Il est a noter que ce projet n’aurait pu voir le jour sans le généreux soutien de la Fondation Québec Philanthrope et du Fonds Pierre Mantha.
Photos: Philippe Ruel Photographie